Emile Zola
L’aurore est accompagné par 3 adjectifs : Littéraire, Artistique, Social. Le titre de l’article est « j’accuse ». L’auteur a fait en sorte d’accrocher le regard du lecteur avec un tel titre. Il inscrit le texte dans un registre polémique. La lettre prétend s’adresser au président Felix Faure mais est en faite un lettre ouverte et s’adresse a la république.
La lettre a été imprimée sur la première page et fait 6 colonnes. Zola s’adresse directement au président, et est conçu comme une lettre. Puisque la justice n’a pas su reconnaître la vérité, Zola dénonce un disfonctionnement judiciaire. Le type de texte est épistolaire. Les paragraphes sont très court et sont constitués d’anaphore, a chaque début, de plus, les paragraphes ne sont pas reliés par des connecteurs logiques. Chaque paragraphe contient une accusation précise. Zola écrit aux valeurs de la démocratie. Zola est un auteur engagé.
A quel auteur Zola se réfère t’il ?
Fin de la lettre au président de la République. Zola récapitule la liste des accusations : il dresse un réquisitoire, (Zola est un écrivain engagé)
La dénonciation d’un procès truqué fait référence à une injustice intolérable. Une erreur judiciaire scandaleuse s’est produite dans ce procès. L’emploie d’une hyperbole « une des plus grandes iniquités du siècle », « enquête de la plus monstrueuse partialité » (l.) ainsi que l’adjectif « monstrueuse » (l.) montre que cette affaire n’est pas a prendre a la légère. De plus, la phrase « preuves certaines de l’innocence de Dreyfus » montre l’évidence avec le mot « certaines » (l.)
L’auteur discrédite les acteurs de l’affaire, et semble douter de leurs capacités
« Par faiblesse d’esprit » (l.) « Monument de naïve audace » (l.). Ils font preuve de partialité « sciemment » (l.) « sur ordre » (l.) et il utilise l’ironie pour attaquer le graphologue « … une maladie de la vue et du jugement » (l.)., ils n’ont pas étés juste et le savaient.
Zola manifeste son indignation en