Escribir para vivir
Chaque chose, bien que je ne l'ai ait seulement regardée, me suscitait une envie irrésistible d'écrire pour ne pas mourir. J'avais souffert de ca d'autre fois, mais ce matin, je suis rentré en transe d'inspiration, ce mot abominable mais si réel dévaste tout ce qu'il rencontre (pour arriver à temps à ses cendres.)
Je ne me rappele pas que nous parlions de qlq chose d'autre, ni meme dans le train du retour. Dejà dans le canot, le lundi matin, avec la brise fraiche du marecage, ma mere s'est rendue compte que je ne dormais pas non plus et que je me questionnais. A quoi penses tu ? J'écris ; je lui répondu. Et je me suis haté d'etre plus aimbale. - Ou plutot, je pense a ce que je vais ecrire quand j'arriverai au bureau. N'as tu pas peur que ton Papa meure de chagrin ? Il a eu tant de motif de mort, que celui la est apparait comme le moin mortel.
Ce n'étais pas m'époque la plus price pour s'aventurer dans un second roman apres s'etre embourbé dans le premier et d'avoir essayé avec reussite ou sans elle, d'autre forme de fiction, mais moi meme me le suis je imposé cette nuit, un compromi de guerre : l'écrire ou mourir. Ou comme RILKE l'avait dit : "Si vous croyez que vous pouvez vivre sans ecrire, n'écrivez pas."
Depuis que le taxi nous a portés jusqu'au quai des canots, ma vieille ville de Barranquilla m'a semblé étrangère et triste dans les premieres lumieres de ce Février providentiel. Le capitaine du canot Eline Mercedez m'a invité à accompagner ma mère jusqu'à la population de Sucre où vivait la famille depuis environ 10 ans. Je n'y avais pas pensé moi meme. Je lui donne un baisé, elle me regarde dans les yeux, je souris pour la premiere fois de l'apres midi, et je me questionne (avec sa malice de toujours.) : Alors que dis je à ton Papa ?
Je lui répondi avec le coeur sur la main : Dis lui que je veux