Etude de Cas opticiel
Pour s’implanter au Japon il existe différentes règles au niveau des lois et réglementation :
Il faut prendre en compte les droits de douane
Obtenir une licence d’importation soumis à l’autorisation d’importation au niveau préfectoral
Prendre en compte les restrictions d’importation en écaille naturelle de la convention de Washington
La loi sur la standardisation c’est-à-dire la mise en place d’étiquette sur les produits (efficacité, caractéristiques, entretien)
Beaucoup d’entreprises ont subi les échecs de leur implantation car elles n’ont pas prisent en compte toutes les informations du pays les modes de gestion doivent être pris en compte. (Investissement, rentabilité, demande).
Après avoir testé l’acceptation de ses produits et services sur un marché, l’entreprise peut envisager de s’implanter pour pérenniser son implantation. L’entreprise devra vérifier la pertinence des structures en fonction du pays d’implantation tant sur le plan juridique que fiscale.
L’entreprise a le choix entre différentes formes d’implantation avec une implication plus ou moins importantes :
Le contrat de distribution
Le bureau de représentation
La succursale
Les filiales commerciales ou industrielles
La joint-venture
Le système de distribution au Japon est extrêmement couteux dû à l’importance des grossistes présents sur le marché.
Le contrat de distribution : avec une première forme qui détermine un intermédiaire. La seconde forme est un contrat avec des grandes sociétés de commerce japonaises, cela permet d’avoir un réseau performant cependant il nécessite l’appui d’un représentant avec des objectifs et une stratégie bien précise. Les grandes sociétés prennent elle-même en charge les