Exemple compte rendu critique
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Philippe Hurteau étant présentement en train de compléter un doctorat politique, est un politologue, qui travaille particulièrement sur les mutations de l’État sous l’influence du néolibéralisme. Mondialisation et délocalisations d’emplois1 est l’un de ses rapports de recherche, qui a été publié en 2009 à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques. L’objectif de ce rapport est en fait de nous informer des effets de la mondialisation sur les délocalisations d’emplois. Dans ce texte, nous analyserons le rapport de recherche d’Hurteau et nous y ferons quelques critiques. Tout d’abord, Philippe Hurteau nous parle de la mondialisation comme étant un phénomène qui existe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, dont l’un des soucis des chefs occidentaux est l’incorporation commerciale et économique des différents marchés du monde causés par la mondialisation. C’est dans les années 80 qu’on voit apparaitre la libéralisation du capital transnational. Par contre, l’un des problèmes de la libéralisation, est le fait que ce sont les personnes détenant les capitaux qui commandent leurs propres intérêts au reste de la population du monde. Ainsi que, la délocalisation des emplois qui proviennent des pays développés vers les pays sous-développés, principalement à bas salaire. Ensuite, il va nous faire une brève définition des deux types de délocalisation : la délocalisation au sens strict et la délocalisation au sens large. Celle au sens strict concerne les firmes multinationales où sont impliqués des investissements directs et elle doit répondre à trois critères énoncés par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Celle au sens large concerne aussi les firmes multinationales, ainsi que les petites et moyennes entreprises (PME), où il n’y a pas d’implications d’investissement direct. Elle doit aussi respecter quatre critères de l’OCDE. Il existe aussi d’autres sortes de délocalisation, par exemple : la