Explication de texte "par dela bien et mal"
Ce texte de Friedrich Nietzsche est un extrait de Par-delà bien et mal. Il s’ouvre sur le fait que les humains, avec le temps, soient devenus très obéissants, c’est même devenu inné. L’Homme a besoin d’obéir à un « maître », comme des moutons obéissent à un berger. Mais si obéir est naturel, alors qui est le maître ? Nietzsche les appellera « surhommes », et parmi eux l’on peut nommer Gengis Khan, Alexandre ou encore César. Ce sont des personnes qui changent le cours de l’histoire. Par le fait d’avoir rendu l’obéissance innée aux hommes, l’on risque de faire disparaître les bergers en les plongeant dans l’hypocrisie morale. Dans un premier temps, nous verrons que l’Homme est conditionné à obéir, ensuite la critique de l’obéissance et enfin la disparition des grands Hommes.
Nietzsche commence son texte par une hypothèse « si depuis », de plus il nous place dans un cadre assez flou sans repère chronologique. Il continu en rendant l’Homme grégaire, il le place dans un troupeau, son existence le conditionne à se regrouper car on ne peut pas rester pas rester seul il faut s’unir pour survivre. Le texte suppose de nouveau qu’il y ait une grande majorité de sujets et minorité de maître c’est-à-dire beaucoup de moutons pour peu de berger. Cela revient à dire que l’obéissance n’est pas naturelle, on l’a inculqué à l’Homme. Cette partie se termine sur le « tu dois » c’est-à-dire qu’on est obligés d’exécutés les ordres. On a hérité de ces caractères acquis par une longue domestication de l’Homme cela est liée à notre conscience formelle, elle est importante telle de la tradition, des schémas hérités, qu’il est difficile de concevoir une approche différente de sa propre culture. En général cette partie s’oppose au devoir moral de Kant, d’après lui l’impératif catégorique correspond à ce qui doit être fait inconditionnellement, or pour Nietzsche ces actions sont conditionnées.
Dans cette deuxième partie Nietzsche dis clairement que