Exposé radar automatique
Voici un article de journal datant de l’époque lors de l’utilisation de ce premier Radar (voir article).
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La raison pour laquelle la France a attendu 2003 pour installer le premier radar automatique est juridique, car nous sommes dans un pays des droits de l’homme et Le Droit Français refusait formellement qu'un robot électronique se substitue entièrement à un gendarme assermenté.
C’est donc avec la loi 2003-495 du 12 juin 2003 renforçant la lutte contre la violence routière que la France prend un ensemble de mesures destinées à réduire l’insécurité sur la route en installant des radars automatiques.
Le 12 juin fût le jour de l’inauguration du premier radar automatique en service. Ces radars ont été fabriqués pour réduire au maximum l’intervention humaine pour la répression des infractions dues à la vitesse. Dés qu'elles sont enregistrées, les données de l'infraction et l'image numérique sont directement envoyées, via une connexion ADSL cryptée et sécurisée, au Centre automatisé de constatation des infractions routières situé à Rennes. Un lecteur optique identifie le numéro de la plaque minéralogique, ce qui permet l'identification automatique auprès du fichier national des immatriculations. Une fois le titulaire de la carte grise identifié, un avis de contravention lui est envoyé par la poste. Cependant, tout le processus n'est pas entièrement automatisé puisque les photographies sont, selon le ministère de l'Intérieur, systématiquement vérifiées par un opérateur. Le processus entier est réalisé en moins de quarante-huit heures.
Les différents radars : * Le radar automatique, n’est ni plus ni moins qu’un radar mobile utilisé par les services de police et de gendarmerie enfermé dans une cabine pesant