La création de la fable remonte à l’antiquité dont le fabuliste phare de cette époque est Esope. On note aussi l’un des plus grands fabulistes de l’histoire de la Fable, Jean de la Fontaine dont il à écris un recueil de fable écris en XI tomes. La fable n’a guère changé d’aspect et d’utilité au cours des siècles. Une fable est généralement un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique, qui comporte un enseignement, une leçon qui cherche donc à instruire. Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. Cette remarque est parfaitement souligné par l’expression de Jean de la Fontaine « Ces badineries ne sont t’elles qu’en apparence, car dans le fond elle porte un sens très solide ». La morale de la fable est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent un double renversement des positions tenues par les personnages principaux, comme dans le La cigale de Jean Anouilh, par exemple. Mais la fable n’est pas la seule porteuse d’une idée dans ce registre didactique on y trouve aussi le comte philosophique. Vous montrer que fables et comtes ne pas que des divertissements : l’une et l’autres ont pour but de faire réfléchir l’homme et la société. Nous verrons donc dans une première étude l’aspect léger de la fable et enfin dans un second temps l’étude sur la visée moralisatrice de la fable. Fables et comtes on toujours possédé une apparence légère, saugrenu, qui prête au sourire, à l’humour. Cela est vrai dans beaucoup d’œuvre. Cette légèreté ce retrouve sous plusieurs forme, ainsi on y retrouve le registre comique, comme dans La Cigale où le Renard devient l’arroseur arrosé, dut au retournement de situation. On retrouve aussi dans toutes les Fables et dans quelque comte l’univers fantastique. Car dans les fables le principal outil du