fdqsfgreqdg
Dans ce passage du texte où Balzac explique la rencontre entre le Colonel Chabert et l’avoué Derville, nous pouvons très bien voir le style littéraire d’Honoré de Balzac puisque cet extrait descriptif toutes les caractéristiques du romantisme et du réalisme.
Le Colonel Chabert est décrit de manière péjorative :
« le vieillard », « le vieux soldat », « cet homme foudroyé », « l’inconnu », « le pauvre homme ».
Toute ces expressions appartiennent au champ lexical de la vieillesse, de l’usure et du malheur.
Le fait de présenter le Colonel Chabert en montrant les ravages de la vieillesse et du temps nous montre le côté réaliste de Balzac.
Cela renforce aussi le côté fatal et inéluctable (dans ce passage on parle de la vieillesse) propre au personnage du romantisme.
La scène de la rencontre entre le Colonel Chabert et l’avoué Derville se déroule la nuit. Ce cadre nocturne renforce la personnalité du Colonel et est donc très romantique.
Cette rencontre nocturne est sombre et effrayante : « dans le clair obscur », « les reflets bleuâtres chatoyaient à la lueur des bougies », « l’ombre cachait si bien le corps », « les bords du chapeau qui couvrait le front du vieillard projetaient un sillon noir sur le haut du visage ». Dans ces quelques extrait on voit que la lumière fait défaut, n’est pas homogène. Ces allusions créé alors un jeux de lumière contrastant le sombre de la lumière, et rendant donc le Colonel Chabert un homme inquiétant.
La description du Colonel se déroule en trois temps :
Il est d’abord décrit physiquement : « Son front », « sous les cheveux », « le visage », « le cou », « cette vieille tête », » les bords du chapeau qui couvrait le front », « le haut du visage », « les rides blanches » « dans le corps » et « dans le regard ». Dans cette première partie le narrateur insiste surtout sur le visage du vieille homme.
Dans un second temps le narrateur s’intéresse au