FELICIDAD
2005
Felicidad signifie « bonheur » en espagnol. Felicidad est en effet un monde où le bonheur est un devoir.
Dans le livre, Felicidad est une ville, c'est la capitale de la Grande Europe où le bonheur est un droit et un devoir. La politique est complètement différente de la notre dans ce livre car la vie repose sur le bonheur, et le gouvernement est démocratique et rationnel, dirigé par un président à vie.
1) Claude BUISSON, ministre du bonheur obligatoire se rend au palais présidentiel, gardé par des parumains de la garde rapprochée, le palais obéissait à un luxe de précautions inutiles qui agaçaient Buisson. Il allait à un conseil pour la nuit de Noël. Mais il est contraint de le quitter lorsque un maître d’hôtel lui donna une enveloppe cachetée : il doit se rendre d'urgence à une réunion de la plus haute importance avec le président à vie et toutes les personnes importantes du palais. Arrivé au palais Buisson subit des contrôles de sécurités car le Président à vie ne prenait aucun risque et sa sécurité passait avant celle des autres. En effet, le périmètre était entouré de mines, Buisson à du subir un géneteste et il s'est fait fouiller et examiner dans un sas de sécurité avant d'entrer dans la salle du conseil. Toute cette procédure a été mise en place à la suite de l'attentat manqué contre le président à vie il y a 40 ans. Le palais présidentiel était en réalité un bunker capable de résister à une guerre nucléaire dont le président à vie n'y sortait jamais.
2) Arrivé dans la salle, l'atmosphère était chargée d'une tension et des brouilleurs étaient installés, le dispositif était inhabituel. Leur était gravé, dans la salle étaient présents : Ramos, le ministre des armées, le colonel Pavlosky, responsable des unités d'élite au seins des Sections spéciales et Berard, ministre de la sûreté intérieur (hautain avec un œillet pourpre) ainsi que des ministres d'importance et qq conseils spéciaux.
Pavloski commença son