Les avancements dans les TI et dans les technologies de la communication ont certainement transformé les conditions ou même augmenté la qualité de vie des gens dans leur vie au quotidien. Au niveau logiciel ou applications, on n’a qu’à penser à la multiplication des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter. Lorsque ceux-ci sont combinés et accessibles par les téléphones intelligents et les tablettes électroniques comme l’IPAD, on peut certainement penser que les TI envahissent nos vies vu qu’ils font partie de notre quotidien, tout comme la télévision ou la voiture. Nous ressentons que c’est devenu un besoin essentiel, où que l’on soit et peu importe le moment de la journée.
Comme nous le savons tous, les TI sont sans frontières. Ceci implique qu’ils sont disponibles même lorsque nous sommes sur les lieux de notre travail. Une nouvelle dynamique est alors créée à savoir où est la ligne de démarcation entre notre vie privée ou notre vie professionnelle, si on a adopté ces nouvelles technologies naturellement. Par exemple, répondre à un appel téléphonique ou un SMS pour aider un collègue pendant notre repas de lunch ou de souper, ou naviguer sur Internet pour trouver une information personnelle ou par simple plaisir pendant les heures de travail, ces exemples démontrent que cette ligne est très fine. De plus, les deux zones de vie professionnelles et personnelles sont de plus en plus entremêlées, constituant une zone floue tant pour les salariés que pour les employeurs, et où la législation en cour est peut-être pas à point pour faire face à de telles situations. Dans la majorité des grandes entreprises, une charte régissant l’utilisation des TI, un contrôle des temps d’usage et des sites web visités peut certes aider à prévenir les abus. Or, toute cette bureaucratie ne devrait pas empêcher le salarié à aller au-delà de ses fonctions afin de cultiver davantage son esprit critique professionnel. Le salarié peut peut-être visiter des sites Internet à