L'invitation au voyage est un poème de Baudelaire, dans lequel il décrit à sa bien-aimée un paysage idéal, tel que la Hollande dont il s'est inspiré, qui est l'un de ses nombreux voyages. Il décrit donc un paysage idéal et utopique, dans lequel il éprouve un attachement tout particulier, puisque dans ce poème, il demande à la femme-aimée si elle veut le suivre et puis vivre avec lui. Baudelaire débute en lui délivrant le bonheur que ce paysage procure et plus le poème avance et plus le poète fait sa demande. Tel qu'au vers 3, avec « Songe au bonheur » ou encore au vers 4 avec « D'allez là-bas vivre ensemble ! ». Il essaie de la convaincre pour le suivre, il la complimante, par exemple « Au pays qui te ressemble », vers 6 . Il s'adresse abrutement à la femme, pour insister sur l'amour qui lui porte comme « tes » au vers 11 et il fait même allusion au fait qu'ils soient réunit, lui et la femme, avec « vivre ensemble » au vers 3. Il la compare à quelqu'un de très proche telle que son « enfant » ou encore sa « soeur » dès le 1er vers. De plus, Baudelaire utilise le registre lyrisme pour exprimer l'amour qu'il porte à la femme par l'intermédiaire de refrains qui se situent aux vers 13-14, 27-28 et 41-42, « Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté » ; pour une fois de plus, insister sur le paysage idéal que veut représenter le poète. On peut même dire que l' « idéal » triomphe sur le « spleen » tel qu'est le titre de la section « Spleen et Idéal ». L'auteur utilise l'impératif pour démontrer le statue ambiguë qu'il fait