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Pierre de Marbeuf (1628)
Paranomas : figure de style montrant le rapprochement de 2 paronyme. Ex : qui se ressemble s'assemble. C'est un sonnet Pierre de marbeuf a fait des études de droits, il a rencontré Descartes. Il va devenir le maitre de l'eau et de la forêt → il va intéresse a la nature. L’œuvre de Pierre Ronsard va lui donner goût a la litt. Il va écrire le recueil de vers et va finir premier a un concours de poésie. Courant précieux. Mythe création du monde= mythe cosmogonique. Jeux de mots = moderne pour l’époque. Poésie élégiaque = lyrisme et sentiment avec beaucoup de tristesse
Comment l’association des deux éléments rend-t-il compte des sentiments des hommes ?
I: Un monde vertigineux.
On montre l'eau associé a différentes formes : Immensité, jeux de répétitions du mot « mer » et « amer ». v2,1. Répétitions du mot « eau » → l'eau est omniprésente (abimer= s’engouffrer), ( abiss = fausse océanique). V3 parallélisme qui montre qu'on peut être déventer en amour mais aussi en mer (noyer) ! Il fais bcp de référence entre le naufrage amoureux et en la mer V8
V5/6 anaphore « celui qui craint » montre que l'eau et le feu s'assemble ! V10 il fait référence a la naissance de vénus, aphrodite (déesse de l'amour, beauté plaisir)
=> opposition des thermes, marbeuf fait une poésie cosmogonique pour prouver que l'amour est aussi dangereux que la mer. On peut faire naufrage en amour et en mer.
II Une poésie prescieux et élégiaque : les jeux de mots
Il procède par métaphore : v13 l'amour qui brule « coup de foudre » « déclarer sa flamme » « raviver la flamme » v7 « qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer » =paronomase grâce aux sonorité → il utilise antiquité pour parler de l'amour (aphrodite) V9 périphrase pour parler de vénus.
Dernier tercet =soutenue, subordonné conjonctive avec « si » qui est associer a un subjonctif imparfait « j’eusse éteint » → Il n'a aucun chance d’éteindre ce feu ! Renforcé