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Premièrement, le roman Jacques le Fataliste et son maître est un anti-roman. Il ne contient aucun chapitre et tout est à la suite de l’autre. Denis Diderot a beaucoup d’idée et il les met toutes en place dans son livre. Il peut passer de dialogue entre des personnes à une explication de quelque chose ou même de dialogue à l’explication d’un contexte. « … et la grande heure, de dame Marguerite. Jacques dit : C’est que l’eau était basse, que le moulin allait lentement, que le meunier était ivre et que, quelque diligence que j’ai faite, je n’ai pu revenir plus tôt » (p.273). Il y a une forme d’énumération lorsqu’il fait son explication dans son livre. Elle a pour effet de mettre en valeur l’anti-roman de Denis Diderot. Également le roman Jacques le Fataliste et son maître est incomplet. Il n’y a pas de début précis à son histoire et il n’y a ni de fin à son roman. C’est un long voyage qui dure et qui dure, mais il n’indique pas quand et comment il se finit. Comme le début de son roman le démontre bien « Comment s’était-il rencontré? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils? Que vous importe? D’où venaient-ils? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils? ² » (p. 1). Dans cette citation, il y a une d’énumération de questionnement sur qui il est. Elle a pour effet de mettre de l’ampleur sur ce qu’il veut savoir. En conclusion, tout ce que Denis Diderot démontre