Après l'éloge de Gargantua au sujet des Thélémites, Grandgousier souhaite montrer à son fils que ces lois et règles de vie ne peuvent s'appliquer dans n'importe quel environnement.
C'est donc devant l'abbaye de Thélème que Grandgousier rencontre son fils, pour exprimer son point de vue à propos du mode de vie des Thélémites.

"Gargantua, mon fils, j'ai à te parler" dit Grandgousier.
"Bonjour, père, que souhaitez vous me dire ? " répondit Gargantua.
"Je viens te voir pour discuter des règles de vie que tu instaurées dans cette abbaye."
"Que me reproches-tu ? En instaurant ces lois, j'ai récompensé une communautés de moine qui à su se rendre utile durant les guerres"
"Je ne pense que pas qu'avec ces lois, tu les honores, mais que tu les ridiculises."
"Qu'est ce qui te fait dire ça ? Je ne comprend pas ta réaction, tous ont l'air d'aimer ces nouvelles règles."

"Regarde-les, il est 16 heures et presque tous sont encore au lit, pense tu que se comportement est normal ?
Tourne la tête, dans le champs derrière toi, un paysan travaille certainement depuis le lever du jour, ne pense tu pas que cela est injuste?
Il me semble pourtant que ce que tu recherche avant tout est l'égalité?" affirma Grangousier.

"Je ne recherche en aucun cas l'égalité, car celle-ci est inaccessible dans une société tel que la notre, mais le respect et l'entraide, prend exemple sur ces moines, ce sont les rares qui vont au contact de la population, des pauvres, de ceux que personne d'autre n'ose approcher, si tout le monde était comme eux, et si fière de l'être alors ne nous rapprocherions-nous pas de l'Utopie ?"

"Si ces moines ne travaillent plus et font tout ce qui leur plait, comment pourront ils encore aider les plus démunis ?
Ne vont-ils pas devenir comme leurs frères qui profitent de la population pour remplir leur bourses ?" demanda Grangousier

"Comme le signal l'unique clause que ceux-ci doivent respecter, je pense que des gens libres, bien nés, bien formés et vivant