Gestion du design
On distingue le design de l’esthétique, discipline apparue au XVIII en Occident et qui constitue une réflexion sur le beau.
Démarrage de la société de consommation : moment à partir duquel on offre une variété de choix. On sort de la considération seulement utilitariste.
On est face à 20 à 30 000 objets par jour (moyen-âge environ 300/jours).
Le sac Kelly = produit icône.
Différence artisan / artiste : artisan fait une œuvre reproductible et ariste crée une œuvre singulière.
Un designer n’est pas un artiste.
Différence design industriel (obéit à des contraintes techniques, de reproductivité du produit (cout, volume)) et design de galerie (pièces numérotées éditées en galerie, pas de dimension industrielle).
Objet : fonction d’usage. Dimension fonctionnelle, utilitaire dans les productions du design.
Peut avoir une dimension sociale : signe de distinction.
Le design évoque souvent une notion de tendance, valeur (mode de valorisation d’une production) et valeurs (un objet représente un certaine nombre de principes qui réfèrent à des valeurs (sobriété, justice, générosité), création, fonction, message/signification (ca raconte quelque chose), matière.
Choisir un objet et choisir ce qu’il raconte, demie page dessus.
Open space : panoptisme >système dans lequel chacun peut voir tout le monde, donc surveillance globale. On voit ce système dans les prison aussi.
La 2chevaux : voiture pour tous mais 4 roues sous un parapluie.
En design, Bilbio de Pompidou gratos, librairie le Moniteur place de l’Odéon ou sur le Canal Saint Martin. Terence Conran « rendre l’intelligence visible »
Magazine US design issues.
Pour beaucoup de magazine, le design c’est la voiture ou l ‘ameublement : le design est culturellement stereotypé.
Aujourd’hui le designer est utilisé dans une optique marketing.
Starck légitime souvent l’objet avec des mots. Travail de poétisation de l’objet, il y a un story telling pour accroître la valeur