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Ce corpus réunit 4 textes qui exploitent différentes images de Napoléon. Il s’agit du premier chapitre du roman de Stendhal , La Chartreuse de Parme , écrit en 1839 , d’un extrait de la troisième partie du chapitre 21 du roman ,Une ténébreuse affaire écrit par Honoré de Balzac en 1843 , de la deuxième partie du chapitre 13 du roman , Les Misérables , de Victor Hugo écrit en 1862 et d’un passage du roman de Patrick Rambaud qui s’intitule La Bataille écrit en 1997.
Dans les textes de Stendhal , Balzac et de Rambaud on observe Napoléon fort et emblématique.
Chez Stendhal on remarque une image positive de Napoléon , qui apparaît d’un coup comme un héro il est nommé : « Ce général Bonaparte » qui entre dans Milan , « ce moment est encore unique dans l’histoire » et il est aimé de tout les Milanais comme le prouve cette citation « tout un peuple amoureux fou » de plus il arrive comme un vainqueur car il « gagna la bataille de Marengo » . Quant a Balzac , Napoléon est un « empereur » qui « porte son célèbre uniforme vert » , de la ligne tant à tant on observe une description sur son apparence ce qui le valorise. Enfin on remarque qu’à la fin du texte de Rambaud , Lempereur « retrouvait d’un coup son endurance et sa force », Napoléon est mis en valeur par ses atouts physiques.
Cependant dans les Textes de Hugo et de Rambaud on remarque une image plutôt péjorative de ce grand personnage.
Ainsi , Hugo nous fait part d’un image dévalorisante de Napoléon , il est vu dans ce texte comme un « homme hagard , pensif , sinistre » qui n’accpete pas sa défaite de Waterloo , il est décrit comme un « immense somnambule de ce rêve éveillé » . Et chez Rambaud on constate que L’empereur , après sa défaite a Essling , se laisse allé , « il commençais a s’empater » , et que son « ventre [était] déjà rond » , de plus « son regard détaché ne s’enflammait que sous la colère » ce qui laisse penser que Napoléon a perdu toute envie de continuer ses péripéties , il est «