Hegel et l'art
L’esthétique en question
-L’esthétique : traite du beau
H ds lignée idéalisme platonicien, cite Hippias majeur : ana philo du bo pas comm par description de belles choses mais par connaiss du Beau en soi, de ce qui rend belles le choses qu’on juge telles.
Le Bo ne peut se ramner à un jugmt de gout, indeterminable objectivmt.
-le terme esthétique : app en 1750 chez Baumgarten
G : aisthesis = la sensation.
Designe dc d’ab l’etude de ce qu’il y a de sensible ds la connaiss pr ê consacré ensuite à la reflexion sur le bo, consid comme la forme sensible du vrai, le moment intermediaire entre sensibilité et entendmt.
Est-il poss de det rationnelmmt idée de Beau ou admettre ss ce terme l’expression d’un jugmt subjectif ?
Art poétique ou esthétique du sentiment ?
- ? qui se fondent sur l’echec historique des arts poétiques : invoquent autorité d’Aristote et pretendent donner du bo un concept ratio et fonder sur lui l’enoncé des princips reglant necessairmt élaboration des œuvres.
Le bo serait modalité du vrai :
Rien n’est beau que le vrai, le vrai seul est aimable.
Il doit regner partout, et mê ds la fable ;
De la fiction l’adroite fausseté
Ne tend qu’à fr aux yeux briller la vérité
Boileau
-Pourtant, ces regles ne peuvent acquérir certitude des lois nat et ne servent guère au jugmt des œuvres.
-Racine # critk qui n’estiment l’œuvre qu’en regard de sa +/- conformité aux normes académiques : « Qu’ils se reposent sur ns de la fatigue d’eclaircir les difftés de la Poétique d’Aristote ;qu’ils se reservent le plaisir de pleurer et d’ê attendris. »
-dvt impossibilité d’enfermer la réalité de la pratique artistique ds un cadre rigide, dvt multiplicité et diversité des choses belles, le bo devient une affaire de gout : « lorsque ns trouvons du plaisir à voir une chose ac une utilité pr ns, ns disons qu’elle est bonne ; lorsque ns trouvons du plaisir à la voir, sans que ns y démêlions une utilité pste, ns l’appelons