- Le plan
Puisqu’il s’agit de montrer comment la Résistance réussit à s’organiser pour prendre part à la Libération, une organisation chronologique est recommandée. Mais il ne s’agit pas de raconter de manière narrative l’histoire de la Résistance ! Il faudra donc essayer, à l’intérieur de la chronologie, de regrouper les idées par thèmes.
Voici deux propositions.

La première est essentiellement chronologique.

I. Les premiers pas de la Résistance (1940-1942)
A. L’acte fondateur : l’Appel du 18 juin
B. La France libre, forces et faiblesses (manque de reconnaissance internationale, faiblesse des effectifs)
C. La multiplication des mouvements de résistance intérieure (initiatives individuelles, actions très diverses)

II. Un mouvement qui s’unit et se renforce (1942-1943)
A. Un contexte de plus en plus favorable (attaque de l’URSS par l’Allemagne, radicalisation de l’occupation allemande, STO)
B. La création du CNR et l’action de Jean Moulin
C. Des actions entraînant des représailles violentes

III. La contribution de la Résistance à la Libération.
A. Le rôle des Français libres
B. Le rôle des résistants intérieurs (FFI, FTP)
C. La place des résistants dans la reconstruction de l’Etat (sur le plan politique, juridique, économique) La seconde privilégie un classement à la fois chronologique et thématique.

I. De la dispersion à l’unité
A. L’acte fondateur : l’Appel du 18 juin
B. Développement de la France libre et multiplication des mouvements intérieurs (1940-42)
C. L’unification de la Résistance (1942-1944) (contexte favorable, augmentation des effectifs, rôle de Jean Moulin)

II. L’action résistante
A. La résistance de tous les jours
B. La lutte armée, une résistance marginale
C. Des représailles violentes (otages fusillés, torture, déportation)

III. Le rôle de la Résistance à la Libération et dans la reconstruction
A. L’avancée des FFL
B. Le rôle des résistants de l’intérieur
C. La place des résistants dans la reconstruction