Histoire littéraire - l'art théâtral au 19ème siècle
Genre émergeant pendant la Révolution. Des centaines d'auteur, des milliers de créations etc etc (_Boulevard du Crime_...) Entre la révolution et 1861, date à laquelle le BDC est détruit suite aux travaux haussmanniens Le mot mélodrame identifie un genre de théâtral mi parlé mi chanté. Bizet (musicien) va tenter par exemple de le vivifier. Le préfixe mélo= rappelle l'importance dans le mélodrame de l'accompagnement musical. Tous les théâtres de l'époque avaient un orchestre, et une partition musicale caractérisée par une musique expressive et descriptive servant à appuyer les effets du mélodrame, souligner un moment d'intensité dramatique/émotionnel etc... Genre de l'émotion et du sensationnel mais sécheresse à la lecture Littérairement : texte mis à nu, ne présentant pas grand intérêt (Célina ou L'enfant du mystère...). L'effet et l'intérêt du mélodrame n'est pas dans l'écrit mais dans la scénographie et l'accompagnement musical= fabrique de spectacle vivant. Effet spectaculaire. Genre médiocre, codifié, frappant à la lecture par la facilité de ses procédés et ses personnages types/figures dominantes. Ecrit systématiquement en prose, mal écrit, une de ses faiblesses est qu'il est bref (à l'origine, le mélodrame est un genre en trois actes – ce qui signale son caractère populaire, sa destination particulière des théâtres de boulevards. Opposé au Grand Théâtre joué à l'Opéra etc...) Décors conventionnels, dont les origines sont le roman noir (cachots, sous terrains, paysages escarpés de montagne, gouffres-). Dimension spectaculaire avec l'arrivée des tableaux. Le mélodrame va changer sa structure en 3