Histoire mondialisaton
Tout d’abord le document 1 nous présente : la fiche toxicologique du benzopyrène qui est un des composé de la fumée de tabac. On y voit que cette molécule est tout autant dangereuse pour l’environnement que mortelle pour les êtres vivants. Il nous dévoile aussi la structure de la guanine (une des quatre des 4 bases azotées qui constituent l’ADN) et la structure de la guanine liée avec au BDPE. Celui-ci étant un composé très réactif venant de la transformation du benzopyrène.
Cet ensemble de document nommé document 1, nous apprend donc qu’en plus d’être une molécule mortelle le benzopyrène transformé en BPDE peut devenir un agent capable de s’intercaler entre deux bases azotées de l’ADN et de réagir avec celle-ci. Dans ce cas là, la guanine étant liée au BPDE est modifiée et n’est plus reliée à la cytosine mais à l’adénine.
On peut donc supposer que cet agent mutagène intervertit les bases entre elles sous la forme (GC -> TA) c‘est à dire que la guanine s’apparie avec l’adénine et non plus la cytosine et que cette dernière s’apparie avec la thymine.
Le document 2 est un graphique représentant le pourcentage de souris présentant une tumeur en fonction de la dose journalière de benzopyrène (mg).
La courbe qui se forme est strictement croissante mais le pourcentage de souris présentant une tumeur et la dose journalière de benzopyrène ne sont pas proportionnels. On aperçoit une « vraie » augmentation quand la souris commence à ingérer plus de un dixième de milligramme de benzopyrène par jour. Le pourcentage de souris atteinte d’une tumeur est de presque 20% alors que précédemment avec 1/100ème ou 1/1000ème de milligramme de benzopyrène par jour le pourcentage de souris atteintes était presque nul.
Avec un peu moins d’un milligramme de benzopyrène par jour 60% des souris présentent une tumeur et ce nombre atteint 90% lorsqu’elle consomme