IDE au Maroc
Les pays en développement, les économies émergents et les pays en transition considèrent de plus en plus l’IDE comme une source de développement économique et modernisation, de croissance des revenus et d’emplois. Ils ont libéralisé leurs régimes applicables à l’IDE et mise en œuvre d’autres mesures pour attirer les investissements étrangers.
Selon le rapport de la CNUCED (2012)1 « Les politiques d’investissement de « nouvelle génération » placent la croissance équitable et le développement durable au cœur des efforts visant à attirer les investissements et à en tirer parti. Cela crée des exigences spécifiques pour la politique de l’investissement, aux niveaux national et international. Au niveau national, il s’agit notamment d’intégrer les priorités d’investissement dans la stratégie de développement, de tenir compte des objectifs de développement durable dans la politique d’investissement, et de veiller à ce que la politique d’investissement soit pertinente et efficace. Au niveau international, il est nécessaire de renforcer la contribution au développement des accords internationaux d’investissement (AII), de veiller à l’équilibre des droits et des obligations des Etats et des investisseurs et de gérer la complexité systémique du régime des All.
Le MAROC à l’instar des autres pays en développement (PED) a adopté une approche faisant de l’IDE une composante principale de son schéma de développement. C’est ainsi, qu’une série de mesures a été prise afin de rendre l’environnement national de plus en plus attractif aux IDE.
À ce niveau la question qui nous interpelle le plus : A l’instar de l’efficacité d’attractivité du territoire des pays en