« Il ne s'agit pas seulement pour l'auteur de raconter l'histoire merveilleuse d'un héros aux qualités stylisées, mais aussi d'exposer une certaine vision du monde ». candide
« Il ne s'agit pas seulement pour l'auteur de raconter l'histoire merveilleuse d'un héros aux qualités stylisées, mais aussi d'exposer une certaine vision du monde ».
Il s'agit d'une œuvre incontournable de Voltaire, Candide. Cet œuvre fut publié en janvier 1759. Elle connut un grand succès notamment grâce au personnage principale, Candide, aux qualités stylisées ainsi qu'à l'exposition d'une certaine vision du monde établit par Voltaire. Voltaire dénonce aussi la société de l'époque en schématisant une multitude de personnages.
On va tout d'abord voir en quoi l'auteur utilise-t-il un héros stylisé pour ensuite comprendre pourquoi Candide s'inscrit dans une histoire merveilleuse ainsi que pourquoi ce héros et cet univers montre la vision du monde de l'auteur.
On peut constater que tout au long du livre, Candide nous prouve que c'est un personnage étant naïf. « Hélas ! Madame je répondrai comme vous voudrez » D'après cette citation du livre au vingt-deuxième chapitre, lors du passage avec la marquise, on voit bien que Candide fait preuve de naïveté et agit selon le désir des gens. Ainsi que ses pensées sont faites en fonction de Pangloss, donc il n'a pas sa propre personnalité. « Le grand homme ! C'est un autre Pangloss ».
Certes on remarque aussi que malgré les évènements qu'il connut il reste attaché à ses idées ou plutôt les idées que Pangloss lui a enseigné tout en ayant quelque fois des doutes étant qu'au il de l'histoire il se rend compte que tout n'est pas bien et se forge sa propre opinion à la fin, on le voit «mûrir» : «C'est bien dommage que le sage Pangloss ait été pendu[...] il nous dirait des choses admirables […] et je me sentirais assez de force pour oser lui faire respectueusement quelques objections», dans le treizième chapitre , on voit qu'il a acquit une certaine assurance ou encore : «Cela est bien dit mais il faut cultiver notre jardin» dans le dernier chapitre. C'est-à-dire que chaque personne cultive son jardin riches en