incipit candide
Voltaire
Contextualisation : Incipit donc début du conte
Texte :
Plan : I)Présentation des éléments de l’histoire A)Conte traditionnel B)Conte philosophique II)Dénonciation A)Dénonciation noblesse B)Dénonciation optimisme
Lecture analytique :
I)Présentation des éléments de l’histoire
A)Conte traditionnel
B)Conte philosophique
Formule introductive « il y avait » qui rappelle le « il était une fois »
Château : lieu emblématique des contes de fées. Renvoie à l’imaginaire collectif et merveilleux du conte.
Situé en Westphalie, lieu réel qui réduit à néant l’imaginaire.
Candide : Naïf comme l’indique son nom, ignorant : »jeune garçon », « l’esprit le plus simple » (renforcée par superlatif), « physionomie annonçant son âme », « pureté de son âme », « jugement assez droit » et « écoutez ses lecons » : rôle de l’élève modèle qui apprend.
Candide : illégitime à cause « d’un quartier » qui montre l’ironie, bâtard « fils de la sœur du baron… », « que 71 quartiers de terre » au lieu de 72.
Présenter avant le baron : rompt les codes de la noblesse.
Baron : « M. le barron » un personnage qui a un titre de noblesse et qui semble respecter : « monseigneur », « un des plus puissant » montre la domination avec le superlatif.
Baron : nom ridicule : mélange anglo-germanique avec allitération en « t » qui fait ressortir l’ironie renforcée par la justification de sa puissance : « car son… même ornée d’une tapisserie » causalité ironique +adverbe qui renforce le ridicule.
Ses domestiques ont deux fonctions et se moque de lui.
La baronne : portrait ironique : « pesait 350 livres » , ce poids justifiant « une très grande considération (intensif+adjectif mélioratif),l’honneur de la maison, (gradation) encore plus respectable(superlatif+adjectif mélioratif) ». L’honneur est liée à son poids.
Cunégonde : « haute en couleur, fraîche, grasse et appétissante » connote la sensualité de l’époque pour l’époque. Elle attire