Initiation à la gestion - cas TEK
QUESTIONS D’ANALYSE DU CAS T.E.K.
1. Les coûts de fabrication de l’usine québécoise T.E.K. sont trop élevés, car on dénote un certain nombre de problèmes dans l’usine dont : une augmentation lente mais continue du nombre de rejet et de retour de certains appareils électroniques. Le problème est plus prononcé sur une des quatre lignes de montages. Les produits défectueux sont habituellement interceptés au service de contrôle final de la qualité. Quand les produits ne sont pas interceptés, cela entrainent des coûts dû au retour de la marchandise et une insatisfaction de la clientèle.
2. Comme le travail à l’usine est très routinié, il me semble avoir un manque de motivation de la part de certains employés. Jean-Roch Gauthier est celui qui doit faire le contrôle final de la qualité et il décrit son emploi comme ceci «C’est ben simple, préparer le déjeuner de ma p’tite fille à la maison, c’est un plus gros défi que la job à l’usine»1. Le contremaître Louis Bernier en a fait par au surintendant Léo Dupuis qui a répliqué «Par les temps qui courent, c’est sûrement pas le problème le plus pressant de savoir si les ouvriers sont emballés ou pas par leur travail. »2 Donc, le surintendant ne se préoccupe pas de motiver ses employés pour avoir un meilleur rendement.
3. Je crois qu’il y a aussi un manque de communication entre les employés et les cadres de l’usine. Les employés croient que l’usine fait de bon profit comme le dit Jean-Roch Gauthier «Ça n’empêche certainement pas la compagnie de faire encore pas mal de profit à ce qui se dit».3 Mais la vision de la direction du siège social de T.E.K. est plutôt différente, «L’usine n’est pas la plus rentable, loin de là, et la situation est telle qu’on n’écarte pas, en dernier ressort, la possibilité de la fermer si elle ne retrouve pas, dans un proche avenir, ses capacités concurrentielles et sa santé financière.»4
4. De plus, il me semble avoir une vision différente de la supervision des