Introduction-conclusion à l'article "paix" de l'encyclopédie par damilaville
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Damilaville, article « Paix » de l'EncyclopédieIntroduction
Au XVIIe siècle apparaît une nouvelle vague de philosophes qui se développera dans toute l'Europe au XVIIe siècle,ceux-ci se surnomment eux-même « les Lumières », persuadés de faire entrer le monde dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l'humanité, émergeant de siècles d'obscurité et d'ignorance. Ils prônent le savoir et combattent l'arbitraire, l'obscurantisme et la superstition des siècles passés, notamment grâce à l’œuvre emblématique du mouvement : L’encyclopédie de Diderot et de d’Alembert, somme de toutes les connaissances de l'époque, visant à vulgariser le savoir et dénoncer le fanatisme, la superstition ou encore, la tyrannie. Il est d'ailleurs question de cela dans l'article « Paix » de l'Encyclopédie, rédigée en 1765 par Damilaville, homme de lettres français du siècle des Lumières ayant notamment côtoyé Voltaire, Diderot et d'Alembert.
Conclusion
A travers cet article qui aurait du initialement traiter de la Paix c'est en fait un réquisitoire contre la Guerre que nous fait Damilaville. L'opposition entre les effets tantôt dévastateurs de celle-ci et bénéfiques de la paix crée un rapprochement qui permet de blâmer un état, ici la guerre et de faire un éloge de l'autre, la paix. L'auteur accuse les puissants d’être responsables des guerres et d'agir par passion au lieu d'être guidés par la raison, prônée par les Lumières, invitant ainsi les lecteurs de l'époque à se rebeller contre cette autorité jugée illégitime : cet article est donc totalement engagé, comme le sont d'autres textes de l'époque dont la lettre VIII des Lettres philosophiques de Voltaire qui fait l'éloge du système politique anglais, fondé sur le partage des pouvoirs, alors peu répandu en Europe afin de critiquer la monarchie absolue où seul un homme détient