Introduction
Durant cette période plusieurs poètes se font remarquer dont Guillaume Apollinaire. Ces poètes se disent les hommes du vrai. Nous pouvons donc nous demander : « Qui oserais dire que, pour qui sont dignes de la joie, ce qui est nouveau ne soit pas beau ? ». Afin de répondre à cette problématique nous verrons dans un premier temps comment un poète écrit des textes poétique sans source d’inspiration. Si un texte se rapportant a un objet ordinaire peut être poétique nous verrons donc ensuite en quoi la poésie qui s’attache à un fait anodin ou quotidien peut apporter une nouvelle vision sur la compréhension du monde. Enfin nous
I. Pour Apollinaire aucune source d’inspiration ne peut être antipoétique
Très longtemps, la poésie exprimer des sentiments, , symbole des contraintes formelles mais
1. "Ce qui est nouveau" peut alors "être beau"
Durant le XXème siècle une nouvelle façon d’écrire des poèmes apparait. Avec ces nouvelles méthodes l’auteur veut donc surprendre voir choquer le lecteur par le choix de son sujet, ou de réaliser certaine description dans une démarche qui rappel la surprise et l’inattendu.
Dans le corpus qui nous est proposé, Valery LARBAUD et Guillaume APOLLINAIRE font l’éloge du train et de l’avion dans leur poème. LARBAUD, dans son poème glorifie le train tout comme APOLLINAIERE fait l’éloge de l’avion. Les deux poète sont également sensible à la musicalité de ces engins(ex v9 de l’Avion) voir à la douceur et à la légèreté que connote l’avion pour APOLLINAIRE (ex v4 de Ode).
BAUDELAIRE