Jankelevitch
718 mots
3 pages
Vladimir Jankélévitch est un enseignant, philosophe et musicologue français. Il est né à Bourges le 31 août 1903 et est décédé le 6 juin 1985 à Paris. Il est né dans une famille d’intellectuels russes. Son père, Samuel, était médecin et a été traducteur pour le médecin allemand, Sigmund Freud. La famille Jankélévitch fuit la Russie parce qu’il y avait des massacres dans le pays. Ils se sont installés en France. En 1922, Vladimir entre à l’École normale supérieure à Paris pour étudier la philosophie. En 1927, Jankélévitch va à l’Institut français de Prague en tant qu’enseignant. Il enseignera là-bas pendant cinq années. Il enseignera ensuite au lycée Malherbe de Caen et au lycée du Parc de Lyon. Il débutera sa carrière d’enseignement universitaire à l’université de Toulouse en 1936. Deux années plus tard, il ira à celle de Lille. Au début de l’année 1940, il passe les années de guerre en se cachant. Pendant cette même année, il est destitué deux fois à cause du fait qu’il était juif et qu’il n’avait pas la nationalité française. Il retrouve son poste de professeur à la Faculté de Lille n 1947 Il a enseigné au collège La Sorbonne à Paris pendant ving-huit ans ( 1951 à 1979 ).Notre personnage pense qu’on ne peut pas penser de ce qui est la mort parce que cela sert à rien. Il est impossible d’avoir la moindre idée de ce qu’est la mort parce que ce n’est pas une expérience qu’on peut transmettre à d’autres personnes. On peut plus parler de la vie puisqu’on prend part à la vie. Aucune personne a vécu la mort et en a parler à d’autres gens. C’est normal. Quand tu meurs, tu n’es plus présent dans ce monde. Alors, tu ne peux pas en parler aux autres. Il dit que la mort arrivera un jour à chaque personne. Toutefois, on ne sait pas ce qui se passera après la mort. On ne sait pas quand il arrivera à chaque personne, alors la mort n’est pas un sujet qui est très clair pour lui. La mort ne peut pas être prouver. Selon lui, si la mort était « quelque chose », la