Jean Jacques Rousseau
Jean jacques Rousseau écrit ici une oeuvre avec comme thème principal la conscience mais aussi la liberté. Il écrit surtout un texte sur la relation entre l’humain et la bête. Il différencie ainsi dès le début l’humain de l’animal. Il se prononce ainsi sur leurs différences essentielles.
La thèse de l’auteur est ici explicite lorsqu’il dit : « Ce n’est donc pas tant l’entendement qui fait parmi les animaux la distinction spécifique de l’homme que sa qualité d’agent libre ». Cette thèse contient les notions principales de son texte : la liberté mais aussi la conscience. Il fait aussi de sa thèse sont antithèse puisque son développement va admettre des différences mais aussi des ressemblance entre la bête et l’homme. Une question sur la notion de liberté peut alors être posé puisque l’homme est considéré comme libre alors que d’un autre point de vu, l’animal pourrait mieux représenter la liberté que l’homme. Il va alors philosopher sur les distinctions essentielles qui pourraient caractériser spécifiquement l’homme de la bête.
« Tout animal a des idées puisqu’il a des sens », tout d’abord, la notion d’animal inclut aussi l’homme ce qui va amener à une distanciation voulu de l’auteur entre homme et bête. Cependant ici l’animal n’est pas simpliste puisque Rousseau lui attribue une capacité réflexive et une intelligence « il combine même ses idées jusqu’à un certain point ». Lorsque l’on a des sens sous entendu inné, ressenti…on a des idées donc on peut réfléchir. L’homme n’est donc pour l’instant pas différent de la bête car il n’y a pas de vraie différence intellectuelle comparée à celle-ci.
Rousseau dit donc que tout animal peut réfléchir, cependant l’animal dans le sens de la bête ne pourra atteindre le niveau de réflexion de l’homme. « Et l’homme ne diffère à cet égard de la bête que du plus au moins ». La différence entre l’homme et la bête est donc faite à partir d’un système d’évaluation et de graduation quantitative quant à son pouvoir