Junk Food SES
Après avoir mis en évidence la relation entre l’évolution de l’obésité et celle des prix des «junk foods» vous vous demanderez dans quelle mesure il est nécessaire de taxer les «junk foods».
Notre commentaire se divisera en deux parties où nous parlerons premièrement de la relation entre le prix et l’obésité mais aussi la nécessité de taxer les junk foods .
L'obésité devenue un problème de santé publique majeur, de nombreux pays sont touchés par cette l’évolution. Les Fast-Foods sont devenus la plaie du monde en termes de santé publique, de nombreuses questions se posent ainsi sur cette «maladie» dont la question fatale : Faut-il taxer les junk foods ?
Les fast food très souvent associé à la malbouffe, mauvaise alimentation déséquilibrée et difficile à digérer n’étant pas bon pour la santé, reste constamment fréquenté par des personnes à revenu modeste.
La nourriture étant soit, trop riche en gras, en sucre, en sel ou encore en produits chimiques et très pauvre en fibres végétales ou vitamines, est à l’origine des surpoids d’où les problèmes cardio-vasculaires, diabète gras, hypertension, difficultés respiratoires et musculo-squelettiques...
Tout d’abord les prix sont plus attractifs sur les «junk-foods», d’où la hausse du surpoids. La relation entre le prix et l’obésité, commence par l’évolution des prix (description du document 3) le prix stagnant pour les boissons gazeuses et largement moins cher pour les fruits et légumes. Au début tous les produits étaient à 70 (indice base 100) puis au fur et à mesure des années a augmenté. Les produits «junk-food» beaucoup moins cher que les produits sains.
L’attrait de ce type de produits tient à de nombreuses raisons : c’est bon, énergétique, prêt à consommer, et pas cher.
Dans ces conditions, nous sommes incités à consommer davantage de ces produits à haute intensité calorique, plus diététiques, mais plus onéreux, comme les fruits et légumes. Et l’incitation est d’autant plus forte