Kant, critiquer de la faculté de juger
Comment Kant différencie t il le gout de la beauté ?
Dans la première partie du texte, Kant montre qu’il est dans la nature humaine d’apprécier certaine chose, et d’en détester d’autres selon un sentiment, et que, de ce fait, il reconnait que c’est un avis qui lui est personnel et qui n’est pas universel. Il insiste ici sur la subjectivité du gout, et sur sa nature à provenir du fondement d’une personne, et à être même complètement indépendante de la volonté de celui-ci. Ceci lui permet alors de suggérer qu’il est dans la nature de l’homme de comprendre que ses gouts personnels ne sont pas universels et que tout homme respecte grâce a cela les autres gouts que le siens. Il montre que cela concerne le sens du gout, le sens de l’ouïe, et de la perception. De plus, Kant considère qu’un jugement de gout ne peut être erroné car il est personnel. Il cite la maxime : « A chacun son gout » qu’il prétend valable pour tout ce qui est agréable. Pour prouver sa théorie, Kant utilise des exemples. En effet, il dit qu’on homme qui dira « le vin des canaries est agréable » admet volontiers être repris. De plus, il montre que ce principe n’est pas applicable qu’au simple sens du gout en disant qu’une couleur peut être « douce et aimable » pour l’un et pourtant « morte et éteinte » pour un autre.
Dans la seconde partie de son texte, Kant parle de l’art et de la perception du beau dans l’art. Il commence par