Karl marx

561 mots 3 pages
Tous s’entendent pour dire que le philosophe Karl Marx a été l’un des moins compris de l’histoire. Selon Karl Marx, plus l’être humain produit, plus il s’affirme et se réalise. Comparativement à ce que Locke pense de l’appropriation de la force du travail de l’autre, qui est pour lui tout à fait légitime, Karl Marx ne se met point en accord avec cette idéologie sur différents points et pense que la force du travail d’autrui rapporte des conséquences funestes. Quels sont en les raisons ?
Tous d’abord, la productivité permet à l’homme d’exprimer sa personnalité et son individualité. Lorsque la division du travail apparait, ce dernier devient une sorte d’obligation et fait que l’être humain devient le seul but de la production et devient donc moins apte à maîtriser sa vie. Il devient aliéné, un autre. Le travailleur en tant que tel ne peut plus être propriétaire de sa propre activité productive car l’être humain devient lui-même une propriété privée. Pour Marx le travailleur devient un être exploité. En d’autres mots, la valeur de la force de travail ne diffère pas de la valeur des biens qui ont permis à son entretien. Sachant que cette force de travail n’est aucunement égale à la valeur produite, un capitaliste cherchera à s’approprier cette valeur en passant par la force de travail. Un travailleur reçoit donc moins que ce qu’il produit, et c’est d’où vient le terme de la ‘’plus-value’’. La force de travail c’est aussi enlever la liberté d’autrui. Pour qu’il y ait liberté, selon Marx, aucune classe sociale ne devrait dominer une autre par le biais du travail, car l’autre ne peut se voir libre par l’obligation de devoir travailler pour la classe supérieure. Les libertés formelles, qui consistent à pouvoir faire ce que l’on veut sans en tirer pouvoir, ne permettent pas d’être heureux si nous sommes incapables de se procurer ce que l’on désire. Marx considère certaines libertés formelles comme une sorte d’exploitation de l’autrui si nous sommes en disposition

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