KNOCK

Le remplacement du docteur Parpalaid par le docteur Knock a apporté de grand changement dans la ville. L’une des causes de ces grands changements survenus est que Knock est un imposteur. Un indice que nous pouvons remarquer chez lui qui nous prouve qu’il est un imposteur est qu’il abuse énormément de la crédulité d’autrui. Tout d’abord, il en abuse en essayant d’avoir la confiance des clients. Pour atteindre cette confiance, il utilise un vocabulaire médical : « Je vais vous l’expliquer en une minute au tableau noir. Voici votre moelle épinière, […] votre faisceau de Türck, […] votre colonne de Clarke. […] Et puis vous avez ici un tiraillement continu qui s’exerce sur les multipolaire. » (Acte II, scène IV). Lorsqu’il utilise se vocabulaire avec ses clients cela produit l’étonnement de ceux-ci. Ce qui amène ses clients a gagné sa confiance puisqu’ils se disent qu’il s’y connait bien en médecine. Knock n’abuse pas seulement de la confiance, en plus il aime faire bonne impression. Il crée de bonnes impressions en s’achetant une voiture : « On le voit traverser tout le canton, dépenser dix francs d’essence et s’arrêter avec sa belle voiture devant la cahute d’une pauvre vieille qui n’a même pas un fromage de chèvre à lui donner. » (Acte III, scène III). Nous pouvons y apercevoir un vocabulaire mélioratif dans cet extrait. En utilisant ce vocabulaire cela fait en sorte qu’il réussit à faire de bonne impression. Bref, Knock réussit très bien à gagner la confiance de ses clients tout en faisant de bonnes impressions.

Par la suite, il y a une autre raison qui nous apporte à croire que Knock est un imposteur. Cette autre raison est qu’il ne fait cela uniquement pour servir ses intérêts personnels. L’un de ses intérêts est l’argent. C’est pourquoi il a recueilli quelques statistiques : « Voici mes chiffre à moi. Bien entendu, je ne compte pas les consultations gratuites de lundi. Mi-octobre, 37. Fin octobre : 90. Fin novembre : 128. Fin décembre : je n’ai