Knowledge management
S'il y a bien un constat qui est aujourd'hui partagé par tous les analystes, c'est que le vaste défi du partage et du développement des connaissances jouera à l'avenir un rôle central dans la compétitivité des entreprises soumises à une forte concurrence.
Et l'un des premiers chantiers à mettre en œuvre, quelle que soit la taille et la nature de l'entreprise, est celui de la capitalisation
Avantages : * capitaliser évite de "réinventer la roue" en permanence. * Le savoir, d'individuel, devient collectif. * Tout ce qui a été acquis par l'un devient alors disponible pour les autres * ce qui permet de ne travailler qu'à la production d'une nouvelle valeur ajoutée, allant au-delà des acquis précédents. * Les collaborateurs en tirent également de grands bénéfices. Le développement de leurs connaissances contribue à leur évolution de carrière, tout en renforçant leur sentiment d'appartenance à un collectif, et leur plaisir de travailler.
Knowledge Management.
Knowledge Management, travail collaboratif, gestion de contenu : quels liens, quels différences ?
L'entreprise recèle des savoirs, dont une partie est consignée dans des documents de toutes sortes (numérisés ou non, dispersés ou non). * Les employés sont les dépositaires du reste des savoirs, par leur familiarité avec les procédures, leur expertise métier, leurs contacts. La gestion de contenu va se charger, à l'aide de l'outil informatique, de rationaliser la production, la diffusion, l'archivage des documents qui constituent le savoir documentaire. Le Knowledge Management (KM) qui va se charger de transcrire, capitaliser et transmettre les connaissances, non seulement documentaires mais aussi des employés. Le KM mène donc naturellement à la gestion de contenu tout autant qu'il repose sur elle, et par son principe même contient l'idée de collaboration. C'est pourquoi les outils de travail collaboratif (ou groupware) lui sont étroitement associés - même si on peut imaginer un