Les temps moderne, Charlie Chaplin
Un troupeau de mouton, puis juste après, des hommes allant tous dans la même direction sortant du métro pout aller dans l’usine :
Charlie Chaplin effectue un lien direct entre un troupeau de mouton et un « troupeau » d’homme allant au travail. Le mouton étant une intelligence limité et agissant par mimétisme. Charlie Chaplin veut souligner le conditionnement aveugle des ouvriers de l’époque. Il se pressent en courant à leur travail
Le patron qui surveille les ouvriers jusque dans les toilettes :
Le patron qui surveille les ouvriers jusque dans les toilettes, lieu intime et privée. Ainsi l’ouvrier n’est même plus respecté, on lui retire tout l’amour propre, tout honneur. La critique envers le patronna et le taylorisme, insensible aux maux des ouvriers, qui ne vise qu’à augmenter la productivité, est acerbe.
Les ouvriers travaillant à la chaine, serrant des boulons sans interruption :
Les ouvriers travaillant à la chaine, serrant des boulons sans interruption, les cadences sont infernales, ils travaillent debout sans interruption. Ils sont soumis a un contremaitre sans cœur et un patron , qui depuis sont bureau augmente la cadence jusqu’à son maximum
La machine à manger qui permet à l’ouvrier de travailler sans s’arrêter :
La machine à manger est une critique violente contre la déshumanisation du travail, l’ouvrier doit être rentable, jusqu’à le faire manger grâce à une machine. Les plans suivants sont terrible, car lorsque la machine commence à s’emballer personne ne se préoccupe du sort du pauvre Charlot qui est ridiculisé et humilié lorsqu’il reçoit en pleine figure la soupe, le gâteau et le maïs présentés par la machine
Charlie devient fou a force de serrer des boulons et entre dans les rouages de la machine et serre encore des boulons en bon ouvrier conditionné malgré le danger :
En bon ouvrier conditionné et surmené, Charlot qui n’arrive plus à suivre la cadence infernale, fini par entrer dans les rouages de la