La conscience est elle naturelle ou culturelle
+ La philosophie Voltairienne, « il faut cultiver notre jardin » : Le travail dans le domaine agricole : * « cultiver » au sens propre =cultiver le jardin. * Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin. Le commerce : Vendre ce que l’on cultive, favoriser les échanges entre les états. Voltaire appliquait ce principe, en effet il avait des terres et les faisait exploiter. S’occuper de soi-même, de son propre « jardin »: Ne pas trop raisonner afin de ne pas avoir de grandes philosophies idiotes. Enrichir son esprit : Se cultiver, et cultiver son « jardin secret ». Conclusion :
Ainsi, le dernier chapitre représente l’excipit de l’œuvre qui est d’une part un texte de clôture et d’autre part la fin d’un contre relatant l’évolution de chaque personnage. Étant un apologue, Candide ou l’optimisme contient une morale qui est « il faut cultiver notre jardin », en effet Voltaire présente la philosophie du jardin, qui rejette l’optimisme et qui permet à chacun de construire son bonheur à sa façon. Le héros se libère ainsi des illusions du monde de l’enfance pour devenir enfin adulte et autonome ce qui est le projet même des lumières. En 1773, Voltaire écrit à D’Alembert : « si j’ai encore quelque temps à vivre, je le passerai à cultiver mon jardin comme Candide. J’ai assez vécu comme lui ».
Ouverture