La conscience fait-elle de nous des sujets
Au prime abord, on pourrais penser que la conscience réfléchit fait de nous des sujets puisqu'elle nous permet de choisir notre comportement(libre arbitre) et de dire «je». Elle nous permet de prendre du recul sur soi et sur le monde qui nous entoure. Mais d'un autre côté, il semblerait que notre véritable nature, notre subjectivité la plus profonde se terre dans notre inconscient, et n'émerge qu'à certain moment. Nous sommes conscient de tout cela.
Dans un premier temps, on pourrait balayer négligemment tout cela, en s'appuyant sur le fait que la conscience et influençable de part le regard que les autres ont sur nous. Cette volonté de plaire propre à l'être humain qui se complait à jouer un rôle pour plaire aux autres. La conscience peut aussi être influencée de manière indirecte comme à travers des publicités ou encore lié au fait qu'un ami possède quelque chose, inconsciemment, on aura envi de le posséder aussi. Ceci nous démarque des animaux à proprement parlé, sans conscience réfléchit, sans aucune considération pour le regard des autres.
Aussi, on peux dire que la conscience n'est pas maîtresse d'elle même, elle a besoin des autres pour exister d'où la psychanalyse. La conscience se forge et évolue au contact des autres. On peux parler de miroir des miroirs avec la relation nous-poches-univers, c'est l'intersubjectivité. Tout comme le fait que nous ne sommes pas identique a notre conscience. Il existe 3 instances dans notre psychisme et il est important de les distinguer: il y a le «moi», le «ça» et le «surmoi». Le «moi» étant l'une d'entre elle, mais le seul à posséder la conscience réfléchit. Mais il ne peut contrôler tout ce qui vient du «ça» pas plus qu'il ne peut contrôler les intériorisation du «surmoi» c'est la thèse qu'avance Freud. La conscience est seulement le centre du «moi».
Cette dissociation du sujet avec le «moi» se manifeste lorsque nous somme confronté au «moi supérieur» comme le