Le 4 septembre dernier se déroulait l'élection générale québécoise de 2012. Ces élections, déclenchées le 11 juillet par Jean Charest, furent anticipées à la suite du contexte politique québécois fragilisé par des évènements comme la Grève étudiante et la Commission Charbonneau. Le Québec élit le Parti québécois de Pauline Marois qui devient la première femme première ministre au Québec. Les résultats de ce vote sont de 31,95 % pour le parti gagnant, 31,20 % pour le parti libéral, 27,05 % pour le parti de François Legault et finalement le Québec solidaire qui fini bon dernier avec 6,03 % des votes. Lors de ces élections, le taux de participation était de 74,61 %. Cela signifie quand même qu'un électeurs admissibles sur quatre ne s'est pas rendu aux urnes pour exercer son droit de vote, soit 25,39 % de la population en pouvoir de le faire. Le droit de vote est un grand pouvoir, mais aussi une grande responsabilité, et pourtant une grande partie des individus ne semble pas s'en préoccuper. Le droit de vote permet aux citoyens d'exprimer leur volonté, mais s'agit-il vrm de leur volonté ? S'agit-il vraiment de la meilleure méthode ? Il est vrai que nous vivons en démocratie, mais cette démocratie, notre démocratie, est-elle juste ? Pour ma part, je considère que la démocratie n'est pas juste et nous verrons dans ce texte qu'elle ne l'est pas puisque la majorité des gens sont incapable de se soucier du bien commun et seulement de leur intérêt personnel. Nous comprendrons ensuite la nuance entre LA démocratie et NOTRE démocratie, la démocratie étant juste selon certains puisqu'elle permet de développer son esprit critique au travers des débats et oriente les individus a prendre des décisions réfléchies. Mais notre démocratie ne l'étant pas puisque les médias sont de plus en plus concentrés et diffusent le même point de vue, ainsi nous nous en trouvons grandement influencer et notre démocratie s'en trouve limitée.

Tout d'abord, plusieurs grands concepts abordés lors de