La délocalisation agricole
1) Les liens entre la délocalisation industrielles, des services et agricoles
De nombreux secteurs sont touchés par la délocalisation sauf les secteurs d’activité qui voyage mal. Ils sont donc difficile à délocaliser comme par exemple le ciment, l’électricité, les opérateurs télécoms, les secteurs très innovants, comme Internet, et les secteurs de création, comme les media. Les autres sont d’une certaine manière « menacés » par la délocalisation. La délocalisation peut en effet être industrielle, de service ou agricole. En ce qui concerne les délocalisations industrielle et agricole. On a une disparition, une évaporation d’un grand nombre d’emplois. En effet, la délocalisation consiste à supprimer un grand nombre d’emplois pour en créer d’autres à un autre endroit. En ce qui concerne les délocalisations agricole et industrielle, on les associe à un gain de productivité et à l’automatisation. Les gains de productivités englobent l’ensemble des économies réalisées dans le processus de production durant une période donnée. Dans la théorie, ils permettent de diminuer les coûts et d’augmenter les salaires mais en réalité, ils entraînent des pertes d’emplois (robotisation, automatisation, progrès technique). Ils ont cependant permis de diminuer le facteur de production travail en gardant le même volume de production et cela en baissant les prix de ventes et en augmentant les salaires. Ces gains de productivité se traduisent par une forte baisse des effectifs d’emplois ouvriers non qualifiés et le développement des fonctions d’études, de recherches d’industrialisation à lui, favorisé une augmentation des emplois de cadres. On peut donc dire que la délocalisation agricole est dans un sens profitable pour les entreprises en ce qui concerne les gains de production et donc le profit mais la suppression d’emplois qu’elle entraîne dans le pays qui délocalise est néfaste pour ce dernier. Cette dernière est également néfaste