La fatalité nelligan
Ensuite, malgré que les auteurs de la cage d’oiseau et Les corbeaux présentent la fatalité de la même manière, ils ont toutefois une conception différente de la fatalité de la mort. Effectivement, Garneau présente la mort comme étant une fatalité qui s’installe tranquillement, donc, qui est plus douce : « L’oiseau dans ma cage d’os. C’est la mort qui fait son nid. » (v.5-6) L’auteur emploie la métaphore, pour montrer que la mort s’établit calmement dans l’être humain et que l’on meurt doucement. L’auteur à pu employer cette manière plus douce de représenter la mort, car il s’interrogeait beaucoup sur l’importance de l’être humain sur la planète et il était sensible au sentiment humain. Tandis que