La fin du travail par Christophe Dejours
I) Les fausses évidences sur la « fin du travail »
Pourquoi on croit ça (qu’on va vers la fin du travail) ? On comprend que ces fausses évidences soient très répandues (crainte du chômage / déclassement lié à l’âge). On croit tout cela car il y a une occultation du travail (délocalisation/activité de sous-traitance, qui permet le travail au noir/le temps libre est en partie rattrapé par le travail/temps de travail non-comptabilisé comme la formation)
II) Hypothèses sur le concept « travailler »
Création de nouveaux métiers (automatisation = maintenance, diversification ; ex : agriculture)
Moins d’emploi + plus de machine = plus de travail par personne (intensification) (l’auteur critique quand même une automatisation excessive (page 11 lignes 5 à 17) et nous sommes d’accord avec lui puisque lorsqu’il donne les exemples de Three Mile Island et de Tchernobyl ; nous pouvons dire que c’est toujours vrai, on l’a vu en 2011, avec Fukushima.
La masse effective de travail est sous-estimée (ex : travail légal et travail au noir)
Rapport entre travail rétribué (salaire) et hors-travail : l’auteur explique la baisse du temps annuel de travail (public) par le fait que maintenant il y a le hors travail extrêmement dispendieux de temps. Or « n’est capable de produire des performances professionnelles […] que celui qui est capable […] d’assumer toute