* Des efforts réels de formation : * La loi du 16 juillet 1971 précise que la formation professionnelle permanente constitue une obligation nationale, elle compte une formation initiale et des formations ultérieures destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active. Ces formations constituent « la formation professionnel continue ». * La FPC bénéficient aussi aux demandeurs d’emploi et aux jeunes en insertion professionnelle. * Plus de 1.6% du PIB sont dépensés en France pour la formation. * Cela dit, depuis 1990, on constate une stagnation de l’implication des entreprises : leur effort de formation représentait 3.23% de leur masse salariale en 1999, soit moins qu’en 1992 (3.26%) * Des tensions entre l’État et les entreprises : * Contrairement aux autres pratiques de GRH, la FPC ne concerne pas seulement les entreprises et les salariés. * La FPC financée par les entreprises a connu une croissance significative depuis 30 as, mais l’implantation massive de cette pratique reste récente. * Les entreprises ont longtemps privilégié la formation sur le tas, les rares écoles de formation interne sont restées centrées sur les besoins immédiats et les particularités productives de l’entreprise (et des grandes entreprises seulement) * Même le seuls système de formation professionnel (l’apprentissage) dépérit, les entreprises préférant embaucher les jeunes sans formation et les mettre d’emblée au travail que d’assumer le coût de l’apprentissage. * Croissance non exponentielle. * Dans ce contexte, l’État va s’impliquer de manière croissante dans le champ de la FPC. * Loi Astier de 1919 qui institue un nouveau dispositif d’apprentissage et oblige les entreprises à le financer par une taxe annuelle de 0.2% de ka lasse salariale. * Création de l’AFPMO en 1946, qui deviendra l’AFPA (association nationale pour la formation professionnelle des adultes), qui est aujourd’hui le