La grève des lycéens
Introduction.
I. Des actions ministérielles nécessaires ?
1/ Une situation qui exige le changement.
2/ Un ministre de l’éducation décidé.
II. La mobilisation lycéenne.
1/ Les élèves dans la rue.
2/ Une grève Parisienne.
III. L’implication des lycéens mise en doute.
1/ Une manipulation des syndicats.
2/ Une grève lycéenne fragile.
Conclusion.
Introduction.
Le programme du président Sarkozy a été battis sur une volonté de rupture, de changement, de réforme. Une fois élu le président et son gouvernement se sont de suite attelés à la tache, ayant été élu pour ce programme de rupture. Il semble donc que les réformes en France aient été un choix de la majorité. C’est un grand nombre de réformes que souhaite mettre en place le gouvernement du président de la république. Ils ont notamment réformés les régimes spéciaux de la SNCF et de L’EDF, la loi Pecresse a été votée pour réformer les universités. Et dans les deux cas les réactions ont été très vives. Les grèves qui ont suivie ont été d’une forte intensité. Les grèves de la SNCF ont eu une forte retombé sur la société de par leur pouvoir de contrainte, de blocage sur les autres citoyens. Même si ils ont été suivis par une partie de la fonction publique, dans l’ensemble ce mouvement ne s’est pas attiré les faveurs de l’opinion publique. Pour ce qui est de la réforme des universités l’opinion publique semblait plus divisée. Les blocages ont touché un bon nombre d’universités et ont atteint une intensité extrême à l’université de lettre de Rennes. Des lycéens sont même venus se joindre à certaines manifestations. Le mouvement a été si important que certains y ont vu les prémices d’un nouveau mai 68. Mais le message n’était pas aussi profond que dans les années soixante-dix et les blocages ne reflètent pas pour autant la tendance générale chez les étudiants, dans plusieurs cas le blocage c’est poursuivie malgré un vote de l’assemblée générale défavorable. Pour ces deux