La liberté, est-ce renoncé au bonheur?
En effet, le bonheur lui, consiste à être dans un états, ou le corps comme l'esprit semblent reposés.
Equilibré, le bonheur est agréable, état durable de plénitude et satisfaction du corps comme de l'esprit.
Seulement, la liberté, nous permet-elle d'accéder au bonheur, ou doit-on y renoncer?
La liberté ne nous fait pas renoncer au bonheur, a quelque détails près, car l'idée se veut contradictoire, puisque, certaines vérités, ou bien d'autre exemple permettent de voir qu'il y a un pour et un contre à peser..
Ainsi paradoxalement, selon les exemples mis en évidences, on renonce au bonheur, ou on n'y renonce pas. On peut voir cela dans bon nombres de cas, qu'il soit tout d'abord politique, historique ou religieux.
Etre libre, c'est avoir son propre libre arbitre, c'est pouvoir choisir les motifs qui provoquent son intérêt sans être pour autant déterminé par eux. C'est n'être contraint de rien, ou comme un sage, qui est délivré de ses propres passions est libre d'agir pour sa raison.
Seulement, cette liberté, est-elle possible en société et via celle-ci, mène t-elle au bonheur?
Choisir ses actes en toutes responsabilité, avec sa propre raison est-ce synonyme de bonheur? L'homme est par nature un animal politique. et tout homme vu en dehors de la société, par son choix ou non est vu comme différent, surhumain, et pourtant on s'évertue à penser qu'il n'y a pas d'autre forme de vie possible à l'homme que celle en société.
La nature de l'homme le pousse à sa propre quête du bonheur, mais cela n'est pas toujours correspondant