La mort et le bûcheron - le fontaine - plan détaillé

634 mots 3 pages
C’est en 1667 que La Fontaine publia et dédia à Monseigneur le Dauphin, alors âgé de six ans, son premier recueil des fables. Dans la préface, la fabuliste déclare que la fable doit être brève, qu’elle doit plaire et qu’elle est un tableau où chacun de nous se trouve dépeint. Prenant comme exemple Esope, fabuliste grec, la fontaine, dans la seizième fable du livre 1 met en scène un vieillard face à la Mort. Dans la fable précédente, La Mort et le malheureux, il avait déjà traité cet amour de la vie triomphant sur toutes les infortunes, mais son ami et théoricien du classicisme, Boileau ou Patru lui avait fait remarquer que l’imitation d’Esope aurait rendu la fable plus vivante. C’est ainsi qu’il écrit la fable de la Mort et du bûcheron qui apparaît comme une variation sur le même thème, mais dans un registre plus vivant, plus réaliste. Dans cette petite pièce qui, comme le dit La fontaine est « un apologue composé de deux parties dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme, le corps est la fable et l’âme, la moralité.

I. L’ ART DE CONTER, DE « PLAIRE »

1) Vivacité de la fable : composition en trois saynètes courte moralité (étudier la rigueur, les procédés alertes et la force de conviction…). CONVAINCRE

2) Art de conter par l’étude des variétés description, narration, discours direct et indirect, versification…) PERSUADER

3) Théâtralité mise en scène de la Mort sous forme d’allégorie PERSUADER

II. LA VOIX DU MORALISTE ET DU PSYCHOLOGUE

1) Art de nous suggérer la vie pénible du bûcheron : psychologie (persuasion, versification, rythme…)

2) Réflexion sur la vie d’un misérable, d’un homme simple

3) Appel à la réflexion sur l’amour de la vie plus fort que l’appel à la mort (méthode inductive)

III. LE MESSAGE IMPLICITE

1) Le philosophe, observateur lucide de la société

2) Esthétique classique : Il s’adresse au roi pour un discret reproche, mais cette fable est un modèle d’imitation.
La Fontaine ne remet pas trop en

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