la peste
• L1 à 17
Description de l’agonie (1er paragraphe), l’effet de l’agonie sur les autres personnages (2ème paragraphe)
Description par les yeux de Rieux « le docteur » l1.
Cette description est détaillée : « ne quittait pas des yeux » l2, « minute après minute » l12, « il le faisait depuis ce matin » l13
De plus, Rieux est très attentif au corps : « les dents de nouveau serrés » l3, « parut respirer plus vite » l8 (observation sans certitude, interprétation) = La mort d’un innocent • L18 à 51
Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable
Douleur matérialisée par les larmes (l31)
La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36)
Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui)
- Tarrou essaye d’apporter du réconfort « essuya le petit visage » (l37)
• L52 à 70
Rieux partage la souffrance.
Par le toucher, il cherche à transmettre sa force à l’enfant
Imparfait de répétition « vide » = inutilité • L71 à 105
Les souffrances se matérialisent par le cri. C’est le point le plus insoutenable parce que la douleur se sent. 1. Decrescendo
Tout s’arrête brusquement.
« les autres malades se turent » l106
Le « mais » (l106) montre l’opposition, la rupture.
Euphémismes : « venait de s’arrêter » l108 (passé proche) « achevée » l111 (plus que parfait) « c’était fini » l112
II. Scène réaliste
1. L’horreur de l’agonie
- matérialisée par les symptômes cliniques
L’enfant est petit, fragile
- Adverbes qui marquent la progression (« un peu », « A nouveau » l20) montrent l’évolution de la maladie en étapes
-
Mais le combat qu’il mène contre la peste semble perdu d’avance. En effet l’enfant ne fait que subir l’action de la peste, il ne peut pas résister.