La peste
« Je n'ai pourtant gardé de cette journée […] le plus abject des assassinats »
Objectif : Le récit porteur de leçon.
Elements d'introduction :
=> Situation du passage : La sixième section centrée sur Rieux et Tarrou. Ils sont sur une terrace qui domine la ville => En dehors de la Peste, impression. On a un monologue où Tarrou raconte sa vie à Rieux. C'est à partir d'ici qu'une amitié liera ces deux personnages.
PBK : En quoi ce récit permet-il une dénonciation de la peine de mort ?En 1957, « Réflexion sur la Guillautine », dans lequel Camus dénonce la barbarie de celle-ci. Donc Tarou => Porte-parole de Camus qui s'adresse aux lecteurs.
I- Le récit d'un souvenir fondateur
1- Le pathétique du coupable- Mouvement du texte : Trois paragraphes très structurés : => Le coupable : paragraphe 1=> Tarrou : Paragraphe 2=> Père/Justice : Paragraphe 3On commence par le coupable, car l'action du récit tourne autour de lui, que Camus veut générer de la pitié à son égard, et que c'est la découverte du coupable qui est vivant pour Tarou. C'est une révélation, tarou est fasciné, hypnotisé par le coupable. « Je n'ai pourtant gardé de ce jour qu'une image », « je n'eu plus de yeux que pour lui » => Portrait pathétique. Ce portrait est comme une esquisse, de la silhouette de l'inculpé à la manière d'un journaliste chroniqueur judiciaire. On a 3 types de détailles : Cheveux pauvres, des ongles rongés, la cravate male mise. Il s'agit de le rendre vivant et banal aux yeux de Rieux et des lecteurs. On a ensuite une insistance sur la peur de l'inculpé : « S'y décidant à tout reconnaître, si sincèrement effrayé », « Il avait l'air d'un hibou traqué ». Deux adjectifs pathétiques : « petit » et « pauvre », ainsi que la périphrase « ce malheureux ». Le texte précise qu'il a une trentaine d'années. Un portrait que si clos par « Je n'insiste pas, vous l'aurez compris, c'était un homme vivant ». Ce qui résume et donne