La propédeutique
Paragraphe 2 :
Le paragraphe 2 est composé lui-même de 2 paragraphes : Un qui est général Un qui est explicatif (complément informatif)
Paragraphe 1 :
Définition de sa conscience, en sa fonction et en sa nature. De plus, toutes les procédures de connaissances sont placées au centre. Il s'agit de savoir ce qu'est la conscience, et par suite de la distinguer de ce qu'elle n'est pas.
Cette définition de la conscience à laquelle nous assistons se veut rigoureuse : l'indice est « l'absolument parlant » ; par définition (ou délimitation ) au sens stricte. « Absolument parlant » la conscience n'est pas autre chose qu'une relation au JE ou à un objet : La conscience n'est pas le JE ni son objet. La conscience est une relation, on dit qu'elle est mouvement. La conscience est une substance (qqch qui demeure malgré les changements) : Le JE (toujours identique) La conscience existe quand on a conscience de nous-même. La conscience se définit par un mouvement de MOI vers MOI ( JE => JE ) c-a-d que le deuxième MOI est un objet. Avoir conscience du JE c'est savoir que ce JE se construit dans le temps, avec le temps, malgré le temps. Ce JE du mouvement de la conscience peut-être individuel ou général (la mort)
C'est alors une relation qui résulte d'une activité intentionnelle. Avoir conscience d'être là, c'est aussi avoir conscience d'exister.
La philosophie est une distinction entre vivre et exister.
=> Les animaux vivent, l'homme existe.
La conscience qu'on a des objets auxquels notre JE s'attarde c'est la relation consciente qui se définit par la condition du vouloir.
(Conscience d'un objet intérieur => état d'âme, sentiments etc.) d'un objet extérieur => on les voit, extérieur à nous)
CONSCIENCE = CUM – SCIENCIA => CUM (avec) – SCIENCIA (connaissance)
Par la conscience je vais devenir sujet. Le JE est autre chose qu'une existence donnée immédiate, brute.