La révolution keynésienne
Révolution keynésienne : changement de point de vue avant et après lui, mais est il pour autant aussi révolutionnaire ?
I. Les principes de base ● Selon Keynes, atteindre l’équilibre général est très rare. Mais une fois atteint il y aura un problème de chômage, donc le plein emploi ne sera pas assuré avec l’équilibre général.
● Le facteur travail ne peut pas être régulé par les lois du marché, puisque les travailleurs ne sont pas une marchandise.
● Keynes réfute la rémunération des néoclassiques en fonction de la productivité marginale de la productivité. (Off de T et Dde de T) Le salaire n’est pas un prix comme un autre et doit être encadré. L’Etat doit intervenir et assurer un équilibre, un salaire minimum.
Ceci conduit à une révolution historique, à une augmentation réelle du salaire, car jusqu’à Keynes la performance avait un prix. Il deviendra par la suite le fondateur des allocations sociales.
● Le marché vu comme la source à l’équilibre est la fatalité du cycle, la variable d’ajustement de l’équilibre ne doit pas être le prix mais la quantité.
● La meilleure méthode pour observer l’économie est la vision macroéconomique et non l’agrégation du comportement de millions d’individus. L’Etat doit donc jouer un rôle important dans la régulation de l’économie, car un ordre naturel ne serait fonctionner sans.
● La répartition du partage de la VA est essentiel au niveau de la demande effective.
● Les invtm varient en fonction des débouchés et des taux d’intérêts, c’est pourquoi il faut déboucher l’horizon économique. Dans une logique keynésienne on parle d’un taux d’intérêt d’une variable contrôlée et nationale.
II. Les Moyens d’actions de la politique Keynésienne
● Multiplicateur et accélérateur keynésiens
● Politique conjoncturelle : Keynes à une vision à court terme. ○ Monétaire : _La