D’abord, un lac ne devient qu’acide lorsque le pH du lac est en dessous de 5,5[1], le seuil dont les dommages des organismes aquatiques deviennent graves. Lorsqu’un lac possède un montant excessif d’acide, les algues commencent à périr. Sans les algues, les poissons manqueront de nourriture et auront de la difficulté à ce reproduire. Une réaction en chaîne va se produire et va nuire l’écosystème au complet. Un lac atteint un tel niveau de pH lorsqu’il est exposé aux précipitations acides régulièrement. Le dioxyde de carbone de l’air produit par les usines, les automobiles, l’engrais et etc. se dissous dans l’eau de pluie pour former de l’acide carbonique (CO2 (g) + H2O (l) [pic] H2CO3 (aq)) avec un pH d’environ 5,6. D’ailleurs, ce n’est pas seulement l’acide carbonique qui entame le problème; il aussi le SO4 et le NO3. Par exemple, la figure 1.1 montre les usines sur le bord du Lac d’Ontario. Les précipitations acides rapportent une grande inquiétude pour plusieurs régions d’Amérique de Nord, pas étonnant quand la population produit 5 790 000 tonnes de CO2 en 2010[2]. L’Ontario possède environ 19 000 lacs qui sont atteint de pluies acides[3] et le Québec 29 000[4]. Le pire du pire est arrivé en 1986 au Cameroun, lorsque le lac Nyos, gravement acide à cause d’une éruption volcanique, s’est écoulée. Lorsqu’un lac est saturé de dioxyde de carbone, des petites bulles apparaissent et lâche

Figure 1.1 L’émission de CO2 des usines représente une grande partie du CO2 dans l’atmosphère. Ceci résulte en des précipitations acides.

du CO2 dans l’air. Puisqu’il est plus lourde que l’oxygène, il s’est propagé dans un village et a asphyxié 1 800 villageois[5]. Certainement ce désastre ne peut pas être contrôlé par les humains mais plutôt par la nature, cependant, ceci démontre le résultat d’un lac gravement acidifié. Figure 1.2 est un vu du lac. Alors, la réduction des émissions polluantes représente vraisemblablement la meilleure solution à long terme pour