Physiothérapie en mode prévention
Vous est-il déjà arrivé de vous lever le lendemain d’une journée où vous aviez pratiqué un effort physique cardiovasculaire intense avec de forte douleur au niveau des articulations ? Bien évidemment, et vous vous demander sûrement pourquoi et comment éviter que cela ce reproduise. Imaginez-vous les douleurs que ressentent les coureurs le lendemain de leur marathon après leurs 42,2 km de course pénible dans des chaleurs atroces .L’acide lactique est la réponse. Dans ce texte nous allons voir ce qu’est l’acide lactique, comment est-elle causée, qu’elles sont les conséquences et puis finalement qu’elles sont les solutions pour éviter les douleurs du lendemain.
Si vous vous intéressez un tant soit peu à l’entrainement, vous vous demandez sans doute qu’est-ce que l’acide lactique. C’est un acide organique qui joue un rôle important dans divers processus biochimiques. Un lactate est un sel de cet acide qui est très présent dans nos muscles. En fait, le lactate est le résultat d’une longue chaîne d’utilisation du glucose au niveau des muscles : la glycolyse est considérée comme un déchet métabolique car il arrive en bout de chaîne. Ce lactate est utilisé comme substrat énergétique comme le glucose pour les muscles.
N’en restons pas là, cette acide peut s’avérer très nuisible pour les coureurs. En fait, pendant l’effort, l’utilisation du carburant, glycogène et lipides, aboutit à la formation d’acide lactique. L’accumulation plus ou moins importante d’acide lactique dans l’organisme entraîne un état d’acidose pour dire les choses plus simplement, cela correspond à l’acidité sanguine excessive et elle peut avoir différentes causes. Par exemple, pour un sportif si l’apport en oxygène lors de la course est inférieur aux besoins, l’acide lactique s’accumule dans les muscles utilisés.
Sans compter que cet acide amène plusieurs conséquences physiques aux sportifs. Manifestement, sous l’influence des combustions